• Image hébergée par Casimages.com : votre hébergeur d images simple et gratuit


    CHICAGO (Etats-Unis) - Se disputer avec son conjoint peut se révéler bénéfique pour la santé, affirme une étude américaine à paraître dans l'édition de janvier du Journal of Family Communication.



    Les ménages qui ne parviennent pas à exprimer leur colère ont un taux de mortalité deux fois plus important que ceux où au moins un partenaire extériorise, selon l'étude, qui a porté sur 192 couples américains pendant 17 ans. Et, après 17 ans, les couples où aucun conjoint n'avait exprimé son courroux avaient environ cinq fois plus de risques d'être tous deux décédés que ceux adeptes de la dispute, selon l'étude.

    "Quand les couples s'unissent, l'une de leurs principales tâches est de savoir se réconcilier quand un conflit survient", a expliqué l'auteur principal de l'étude, Ernest Harburg, professeur à l'Université du Michigan (nord). "Si vous enfouissez votre colère, que vous la ressassez et que vous éprouvez du ressentiment pour l'autre (...), et que vous n'essayez pas de résoudre le conflit, alors vous avez un problème".

    De précédentes études avaient montré que le fait de réprimer sa colère augmentait les maladies liées au stress comme les problèmes cardiaques ou ceux liés à la tension artérielle. Cette enquête a porté sur l'impact de la colère enfouie et du ressentiment sur la mortalité au sein des couples.

    Sur les 192 couples étudiés, 26 évitaient tout conflit, alors que chez les 166 autres, au moins un des conjoints exprimait sa colère. L'étude a été réalisée de 1971 à 1988 parmi la classe moyenne d'une petite ville du Michigan, et la plupart des femmes étaient mères au foyer. Une analyse des taux de survie de cette même population 30 ans après devrait prochainement fournir des résultats complémentaires, selon M. Harburg.


    source : Yahoo News.


    Pour en savoir plus : la dispute vaut mieux que le silence.

     
    <script language="javascript" type="text/javascript">   WEBO_ZONE=1;   WEBO_PAGE=1;   webogold_ok=0;</script><script language="javascript" src="http://script.weborama.fr/gold.js" type="text/javascript"></script><script language="javascript" type="text/javascript">   if(webogold_ok==1){webogold_zpi(WEBO_ZONE,WEBO_PAGE,224736);}</script> 
    <script type="text/javascript" language="Javascript" src="http://pub.oxado.com/insert_ad?pub=101899"></script>

    votre commentaire
  • L'ordinateur sonne la fin des cagoules !

    STOCKHOLM (AFP) - Sans cagoules ni armes à feu, des malfaiteurs ont tenté de "braquer" une banque en s'introduisant à distance dans l'un de ses ordinateurs pour effectuer un virement, un coup inédit en Suède qui a échoué grâce à la vigilance d'un employé, a annoncé la police mercredi.

    Alerté par le fait que le marqueur de sa souris d'ordinateur se déplaçait tout seul, un employé de l'agence Swedbank à Knivsta (nord de Stockholm) "a découvert un câble branché sur son ordinateur et relié à un dispositif de télécommande à distance placé sous sa table", a indiqué à l'AFP Christer Nordström, porte-parole de la police d'Uppsala (nord de Stockholm).

    L'employé a alors brusquement débranché le câble, interrompant du même coup un transfert de plusieurs centaines de millions de couronnes (100 millions de couronnes représentent 10,5 millions d'euros), selon M. Nordström.

    Le dispositif, "sophistiqué et requérant de grandes compétences" techniques, aurait été installé lors d'un cambriolage commis peu de temps avant la tentative de fraude.

    Selon M. Nordström, jamais un tel procédé n'avait été mis en oeuvre en Suède pour cambrioler une banque.

    La police, qui a arrêté sept suspects, a révélé l'affaire mercredi, mais le coup a eu lieu au mois d'août.





     
    <script language="javascript" type="text/javascript">   WEBO_ZONE=1;   WEBO_PAGE=1;   webogold_ok=0;</script><script language="javascript" src="http://script.weborama.fr/gold.js" type="text/javascript"></script><script language="javascript" type="text/javascript">   if(webogold_ok==1){webogold_zpi(WEBO_ZONE,WEBO_PAGE,224736);}</script> 
    <script type="text/javascript" language="Javascript" src="http://pub.oxado.com/insert_ad?pub=101899"></script>

    votre commentaire
  • Compatibilité des groupes sanguins


    SYDNEY (AFP) - Une fillette australienne a changé de groupe sanguin après une transplantation du foie et a acquis celui de son donneur ainsi que son système immunitaire, ont indiqué jeudi les médecins qui la traitent.



    Demi-Lee Brennan était âgée de 9 ans et elle était gravement malade du foie lorsqu'elle a reçu la transplantation qui a entraîné ce changement, observé pour la première fois, ont précisé les médecins d'un hôpital pédiatrique de Sydney.

    Neuf mois après la transplantation, les médecins ont découvert que la fillette avait changé de groupe sanguin et adopté celui de son donneur en raison d'une migration des cellules souches de son nouveau foie dans sa moelle osseuse qui produit les cellules sanguines.

    La petite fille, de groupe sanguin O rhesus négatif avant l'intervention, était passée dans le groupe O rhésus positif, comme le donneur de greffe, un jeune garçon décédé à l'âge de 12 ans.

    La fillette est aujourd'hui âgée de 15 ans et est en parfaite santé, a ajouté le Dr Michael Stormon, qui suit la patiente.

    Le Dr Stormon a précisé à l'AFP qu'il avait présenté ce cas, unique selon lui, dans le monde entier.

    "C'est tout à fait inhabituel, en fait nous ne connaissons aucun autre cas dans lequel cela se soit produit", a-t-il dit.

    La mère de la fillette, Kerrie Mills, a qualifié sa guérison de "miraculeuse" lors d'une conférence de presse tandis que la fillette a estimé que les médecins lui avaient redonné la vie.

    "Je ne peux pas suffisament les remercier. C'est comme une seconde chance de vivre", a-t-elle dit.

    Les médecins qui ont traité Demi-Lee Brennan cherchent à savoir si ce cas pourrait avoir des implications dans la chirurgie de transplantation, un domaine ou le rejet des organes du donneur est un des principaux obstacles.

    Un article sur ce cas a été publié jeudi dans le magazine américain New England Journal of Medicine.



    source : Yahoo News




    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique