L'édition indépendante et collaborative, c'est l'école des écrivains.
Qui suis-je
Ce n'est que du haut de mes 45 ans que je commence à savoir répondre à cette question. Donc personnalité hypersensible, intuitive, profil plutôt "zèbre" si cette étiquette ne va pas de paire pour vous avec une notion de surdouance qui n'a pas lieu d'être, tempérament chercheur de sens et de vérité, je préfère vivre mes apprentissages à moi même si c'est plus long que de suivre n'importe quelle doctrine même la plus officielle et scientifique. J'écris depuis l'âge de 12 ans (en cachette, comme s'il s'agissait d'une maladie honteuse), n'ai commencé à partager mes écrits qu'à l'âge de 32 via ce blog avec ce pseudo que j'ai finalement gardé, j'ai publié mon premier roman humoristique et initiatique à 37, et je ne partage que des livres destinés à collaborer à un nouveau monde plus bienveillant, plus conscient, plus libre… et donc dans lequel l'amour au sens large prendrait enfin le gouvernail de nos peurs.
Le 10 décembre 2007 On les croyait réservés aux films dhorreur ou fantastiques, mais des êtres mi-hommes mi-bêtes pourront-ils bientôt voir le jour dans notre monde à nous?
On nen est pas encore là, mais le gouvernement britannique a donné le feu vert à la création dembryons animaux-humains, le 5 septembre dernier.
La technique consiste à retirer le noyau dun ovule animal et à le remplacer par un noyau humain. On crée ainsi un «cybride» une contraction des mots hybride et cytoplasme, milieu dans lequel baigne le noyau porteur dun bagage génétique humain, identique à celui du donneur.
La durée de vie de ces chimères ne pourra cependant pas dépasser 14 jours et il sera interdit de les implanter dans un utérus.
Le Royaume-Uni consolide ainsi sa position de pionnier de la recherche sur les embryons. La décision est survenue à la suite dune consultation auprès de quelque 2 000 Britanniques qui se sont prononcés à 61% en faveur de cette méthode, dans la mesure où elle peut faire avancer la recherche sur le parkinson ou la maladie de Lou Gehrig, entre autres.
Les chercheurs pourront ainsi générer des lignées de cellules souches embryonnaires ces cellules à tout faire qui peuvent proliférer presque indéfiniment et produire nimporte quel type de tissu ou dorgane sans devoir compter sur des dons dovules humains, qui ne suffiraient pas à la demande. Reste à voir si on va sarrêter là.