L'édition indépendante et collaborative, c'est l'école des écrivains.
Qui suis-je
Ce n'est que du haut de mes 45 ans que je commence à savoir répondre à cette question. Donc personnalité hypersensible, intuitive, profil plutôt "zèbre" si cette étiquette ne va pas de paire pour vous avec une notion de surdouance qui n'a pas lieu d'être, tempérament chercheur de sens et de vérité, je préfère vivre mes apprentissages à moi même si c'est plus long que de suivre n'importe quelle doctrine même la plus officielle et scientifique. J'écris depuis l'âge de 12 ans (en cachette, comme s'il s'agissait d'une maladie honteuse), n'ai commencé à partager mes écrits qu'à l'âge de 32 via ce blog avec ce pseudo que j'ai finalement gardé, j'ai publié mon premier roman humoristique et initiatique à 37, et je ne partage que des livres destinés à collaborer à un nouveau monde plus bienveillant, plus conscient, plus libre… et donc dans lequel l'amour au sens large prendrait enfin le gouvernail de nos peurs.
La fabrication d'un
simple jean cause des dégâts environnementaux. La culture du coton,
d'abord, nécessite beaucoup d'eau, d'engrais et de pesticides (24 % de
la production mondiale de pesticides est utilisée pour le coton, qui ne
représente que 5% des surfaces cultivées).
Les
engins de culture consomment du diesel, surtout dans les immenses
exploitations américaines. Le transport, ensuite : qu'il vienne
d'Ouzbékistan, d'Inde ou des Etats-Unis, le coton parcourt plusieurs
milliers de kilomètres jusqu'à la filature. Cette opération nécessite
elle-même de l'énergie, ainsi que le tissage, l'ennoblissement
(teinture et finition, qui utilise des produits à base de pétrole) et
la confection.
Il faut enfin compter avec
l'acheminement du produit fini jusqu'en France. Tour cela aura
nécessité plus de 870 MJ, soit 25 litres de pétrole (source : Bio
Intelligence Service).
Mais le jean consommera
encore l'équivalent de 37,7 litres de pétrole lors de son utilisation
(lavage + lessive).