Je suis né amnésique. On m'a mis dans la course de la vie et j'ai joué le jeu jusqu'à ce que je comprenne qu'on ne fait que tourner en boucle, sans aucun espoir de reconnexion possible. Depuis, je deviens un spécialiste de l'évasion.
Pour cela, j'écris ce que j'appelle des livres de Poucet. Ce sont des livres qui délivrent. Ils sont disponibles comme des petits indices pour ceux qui les trouveront dans leur propre quête d'identité.
Un livre ne fournit que ses mots à lui, le cœur du message bat déjà en vous.
Nous sommes bien plus que des passants du trottoir de l'existence.
Mais oserez-vous vous déconnecter de la petite voix que vous pensiez être la vôtre pour découvrir la voie vers votre véritable nature ?
La fabrication d'un
simple jean cause des dégâts environnementaux. La culture du coton,
d'abord, nécessite beaucoup d'eau, d'engrais et de pesticides (24 % de
la production mondiale de pesticides est utilisée pour le coton, qui ne
représente que 5% des surfaces cultivées).
Les
engins de culture consomment du diesel, surtout dans les immenses
exploitations américaines. Le transport, ensuite : qu'il vienne
d'Ouzbékistan, d'Inde ou des Etats-Unis, le coton parcourt plusieurs
milliers de kilomètres jusqu'à la filature. Cette opération nécessite
elle-même de l'énergie, ainsi que le tissage, l'ennoblissement
(teinture et finition, qui utilise des produits à base de pétrole) et
la confection.
Il faut enfin compter avec
l'acheminement du produit fini jusqu'en France. Tour cela aura
nécessité plus de 870 MJ, soit 25 litres de pétrole (source : Bio
Intelligence Service).
Mais le jean consommera
encore l'équivalent de 37,7 litres de pétrole lors de son utilisation
(lavage + lessive).