De l'écriture personnelle à de nouvelles valeurs collectives.
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Qui suis-je
Je n'en sais rien. Plus j'essaie de répondre à cette question et moins je suis. Donc, je fais court :
J'ai 46 ans, je vis en France, et je considère que la vie est une école pour apprendre à transmuter nos inconsciences personnelles en l'émergence d'une véritable conscience collective. Pour cela, j'écris ce que j'appelle des livres qui délivrent. L'auteur indépendant que je suis est un explorateur solitaire de son monde intérieur. Plus je m'efforce de faire face à mes contradictions, plus je me rapproche de cette part d'universalité que j'appelle l'âme humaine. Soyons fous, soyons faibles. Rions de nous, mettons-nous à nu et envolons-nous. Là se trouvent les fondements du nouveau monde qui s'ouvre à nous.
La vache, le lait, la
campagne Quoi de plus écolo à première vue ? Et pourtant : une
exploitation agricole de taille moyenne (25 vaches et 150 000 litres de
lait par an) utilise l'équivalent en énergie de 21 500 litres de
pétrole (source : solagro).
Car les vaches ne se
contentent pas de brouter l'herbe dans les champs : on doit aussi leur
apporter des protéines sous forme de tourteaux de soja (importé du
Brésil), du maïs (gourmand en produits phytosanitaires et en énergie),
de la lumière et du chauffage pour les bâtiments, etc.
Sur le même principe, on peut estimer qu'un
saucisson de 300 g "pèse" 0,11 litres de pétrole et 1 kg de veau 17
litres.
Il est pourtant possible
d'économiser l'énergie. Alors qu'une exploitation avec un élevage "hors
sol" utilise plus de 3000 équivalent litres de fioul (EQF) par hectare,
certaines fermes biologiques n'en consomment que 75 EQF par
hectare.