• Budget alimentaire d'une semaine au MexiqueVoilà ce qu'on peut manger pendant une semaine lorsqu'on habite au Mexique.

    On dirait que Coc* Col* remplace les robinets d'eau potable !

    Cette photographie a été réalisée par Peter Menzel (lien sur son site en cliquant sur l'image).
    Elle fait partie de toute une série de photos visant à montrer les différences
    qu'il existe concernant les moyens nutritionnels dans le monde.

    Les articles à venir vous montreront le budget et la diversité alimentaire
    des USA, de la Mongolie, de la Chine, du Boutan,
    de l'Equateur, de l'Italie, de la Grande Bretagne, etc.

    A suivre, donc !




     
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  • Koko est à l'initiative d'un film intitulé Koko le gorille qui parle



    Vous connaissiez déjà Coco, le perroquet qui parle ? Eh bien voici maintenant Koko, le gorille, qui parle !


    Koko maîtrise 2000 mots la langue anglaise, est capable d'exprimer des émotions comme la jalousie, la joie, la tristesse, et est également capable de communiquer le niveau de sa douleur sur une échelle comprise entre 1 et 10.

    Evidemment, face à ces résultats peu ordinaires, les scientifiques n'ont pas pu s'empêcher de lui faire passer quelques tests de Q.I., car il faut dire que dans notre société, seul le chiffre scientifique valide ce que l'entendement sait déjà : donc, Koko est bien "intelligent", puisque ses tests indiquent un niveau de Q.I. de 90, soit très proche de la moyenne de 100 considérée pour l'espèce humaine (il faut savoir que 70% des gens ont un Q.I. compris entre 85 et 115).

    Ces résultats ont d'ailleurs incité certains pays à se poser des questions quant aux droits accordés aux grands singes, ces singes dont le patrimoine génétique est identique au nôtre de 95 à 99%...
    Ainsi, dernièrement, en Nouvelle Zélande, on vient de voter une loi interdisant la détention et les expériences scientifiques sur ces "nouveaux cousins" (du moins... cousins enfin reconnus)




    Alors, qui c'est qui avait raison de parler de réveil des chimpanzés ou encore de réveil des bonobos ?


    Mais pour revenir à nos moutons (ou plutôt à nos gorilles), je vous renvoie à l'article qui a inspiré ce billet (les mystères de l'intelligence animale), ou encore à cet article en anglais concernant la "maman" de Koko (Francine Patterson) , ou bien encore à cet article de Wikipedia sur l'intelligence animale en général.

    Bonnes confrontations, et pour ceux qui restent sourds face à ce signal venu du monde animal, sachez que Koko maîtrise également des centaines d'expression du langage des signes ! (et je précise qu'il ne s'agit pas d'un poisson d'avril comme le fameux dinosaure du lac Bénit faisant l'objet de la petite "niouze" précédente !)



















    Autre video :
    Koko, reportage diffusé sur Télématin




     
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    Je suis un noctambule.

    Le soir, lorsqu’à vingt-et-une heures précises je peux enfin me transformer en Charlie Bregman, je me connecte sur internet pour surfer et divaguer jusqu’à ce que minuit approche.
    Là, enfin, gonflé à bloc de cette envie indescriptible de vouloir écrire tout un roman en une seule nuit, je m’éclipse enfin du monde virtuel, et lance une page de mon traitement de texte pour commencer à exister.

    Souvent, à cinq minutes de la fin de journée, lorsque le monde entier a enfin disparu et que le silence s’est endormi dans les rues, lorsque plus personne ne peut m’interpeler ni même me croiser, je savoure le bonheur indicible d’être enfin celui qui ne porte pas de masque, celui qui est avant d’avoir et celui qui existe avant de devoir. Les larges chaînes de mes geôles quotidiennes sont enfin mises de côté, les portes sont grandes ouvertes, les barreaux sciés, les miradors disparus, et la clef des champs, là, juste là, sous mes doigts, sous chaque « clic clic » et faute de frappe et enfin, je savoure cet oxygène si pur qui pénètre en mon être, en même temps que je me délecte de cette existence secrète que personne ne soupçonne.

    Une journée de plus d’accomplie : une de moins qu’il me restera à endurer.
    Je n’ai pourtant pas à me plaindre ni de mon job ni de ma condition, ni du regard des autres ni du fait qu’ils me prennent pour un con : c’est exactement comme si toute ma vie ne servait qu’à cacher ce que je suis, qu’à accumuler des situations et des énergies pour ne les restituer qu’au beau milieu de la nuit.

    Au seuil de la grande porte, là où l’on ne se rend pourtant jamais sans invitation préalable, je me présente tel quel, sans maquillage ni chichi, avec mon fardeau qui me courbe l’échine et la solitude qui me défigure, et je Lui rend enfin la monnaie de sa journée.
    — C’est tout ? s’étonne-t-Il.
    C’est fou ce que l’on peut surestimer la possibilité d’un jour, lorsque l’on est totalement déconnecté de la réalité…
    — Les jours passent vite… dis-je, comme si je cherchais à m’en excuser.
    — S’ils passent aussi vite que tu veux me le faire croire, c’est que tu peux tenir encore quelques temps… raille-t-Il.
    Au fond, je sais bien qu’Il ne me lâchera pas. Tant que je n’aurai pas accompli le travail jusqu’au bout, je n’aurai qu’à revenir chaque nuit, déposer là sa cargaison.

    Cargaison d’une éponge.



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