• Pénis !

     

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    SYDNEY (AFP) - L'Australien Tim Patch est la nouvelle coqueluche de la Sydney Sexpo, ouverte jeudi. Non pas qu'il ait un talent particulier, ni que ses toiles soient d'une originalité remarquable, mais c'est qu'il a choisi pour pinceau... son pénis.

     

    Père de quatre enfants d'allure modeste et plutôt timide, l'artiste a embrassé la carrière de peintre pénien à la suite d'un défi lancé par une amie, lors du dernier réveillon de la Saint-Sylvestre dont il ne dit pas s'il fut arrosé.

     

    Quelques années plus tôt, il avait échoué au concours d'entrée des Beaux-Arts et s'était résigné à un emploi dans le BTP (Bâtiment et Travaux Publics).

     

    "Au début, j'étais gêné", se souvient-il tout en entamant devant une foule de badauds le strip-tease qui marque rituellement le début de ses spectacles: laissant tomber un long imperméable d'exhibitionniste, il se dévoile nu comme un ver, mis à part une paire de jambières qui ne montent pas plus haut que ses genoux.

     

    Son sujet, le seul dont il dessine le portrait, peut alors entrer en scène. Il s'agit de Justin Morley, qui a choisi pour nom d'artiste "Alan Length" ("longueur" en français).

     

    Lui aussi a opté pour l'art pénien : se servant de son sexe comme d'une marionnette, il crée des formes qui vont de hamburgers au monstre du Loch Ness, en passant par la Tour Eiffel.

     

    Tim Patch trempe alors son "pinceau" dans une palette placée en contrebas et lentement, une forme apparaît sur la toile qu'il tient dans ses mains.

     

    "Ca semble vraiment bizarre mais c'est pas si mal en fait", lance le peintre, satisfait de lui-même. Quand on lui demande s'il est le seul "artiste pénien" au monde, il avoue que ce n'est peut-être pas le cas. "Mais je suis sans aucun doute le plus grand", tranche-t-il.

     

    A 300 dollars le portrait (200 USD), il a en tout cas réussi à améliorer son ordinaire. "Mais je dois encore travailler un peu dans le BTP", regrette-t-il. Il compte cependant sur la Sydney Sexpo et ses 55.000 visiteurs annoncés pour doper les affaires. Durant les quatre jours de cette "foire du sexe", il offre un "spécial" à 75 dollars la toile.

     

    Justin Morley, lui, vit depuis plusieurs années de son "art". Il avait été remarqué en 2001 lors d'une tournée aux Etats-Unis baptisée "Les marionnettes du pénis". Aujourd'hui, il offre ses spectacles dans les "soirées entre filles" qui sont régulièrement organisées dans les pubs australiens.

     

    Sa fiancée n'y voit aucun problème, assure-t-il : "Quand je pars au boulot, elle me dit +Bonne chance et ne les laisse pas toucher+".

     

    Tim Patch, lui, assure que "probablement tout le monde pourrait faire de l'abstrait".

     

    A ceux qui pourraient s'inquiéter de son anatomie, il assure que "la peinture acrylique part avec l'eau" et que les contorsions qu'il inflige à son "outil de travail" ne sont d'aucun danger. "Mon docteur m'a dit que c'était OK".

     

    source : NEWS YAHOO (Par Lawrence BARTLETT)

     

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